11 July 2006

I

Directement devant lui la femme aux cheveux foncées était assise comme sa coutume leurs bras noires et épuis. Ses lunettes avec le bouquet onduleux qui a échappé son pince à cheveux et qui a semblé sous-marin, contenant la couleur, et la vivacite.

Une fois, elle a porté une jupe, haute et précise.
Une fois, quand une femme enceinte a monté dans l'autobus, la balustrade a appuyé a lui comme elle a lit le métro, se levant, ses yeux amandes contenus derrière ses lunettes, derrière le journal gratuit. Maintenant, encore, elle était assise dans la place devant lui. Elle travaillait à l'Arabique mais elle ferait aussi bien d'
être convri en ambre. Le dossier était comme le verre d'une tribune. Il a voulu présenter le à elle mais l'autobus a semblé si claustrophobique. Maintenant il a su qu'il ne lui parler a jamais. Chaque matin l'autobus se l'est relevée. L'autobus l'a deposé. Il l'a distingué et il a dit au revoir à lui sans ouvrir sa bouche.

II

Ce matin, elle rirait sans son, bavardant avec un homme dehors la vitre. Elle a monté dans l'autobus, à lunettes, et a mis son billet dans la machine qui l'a aspiré et puis l'a craché, impeccable comme si son corps avait été te rentré lui-meme.

Elle a marché en bas du couloir et s'est assise dans le rang opposé.
Tout le jour je pense à lui.
Le voyage du retour je leve mes yeux et la voilà.
Elle s'assied devant moi, ses fines ongles violettes drapées dessus le dossier. Je vois ses boucles d'oreilles rouges, les lunettes de soleil avec DIOR écrit en lettres d'argent le long des bras, ses épaules bronzées laissant un haut aussi bleu que l'après midi, couvert dans ses silhoettes jetées à travers la vitre. Je connais sa garde-robe européene, les couleurs un peu hardis, un peu trop precisement définis pour le goût anglais.

Nous étions tous les deux sans occupation. Elle a tourné sa cou à regarder des champs à gauche, à droite. Elle a tiré ses jambes sur la place, et puis a teni un roman de son sac ... par Daniel Defoe. J'ai voulu parler bonjour.

Je pourrait sentir le moment passant. Un jour, nos chemins recontront en plein air, et nous parlerons. Jusque-l
à, je peux attendre a son arrêt, la voir attendant ou marchant comme je m'assieds, toujours je m'assieds.

-

Quand j'ai dit que sa couleur naturelle était moins sévere qu'avant, elle bien y a réfléchi. J'aurai dû dire qu'elle était plus chaleureuse.

-

J'essaie de ne pas apprécier la passengère solitaire aux cheveux gris dans le rang oppose, son sac a man de cuir.

Le parfum des champs expirés par la vitrine,
l'obscurité d'un tunnel envahi par des arbres
mon coeur de déplace cettes routes.

On ne parle
à personne parce que la bruit dans l'esprit est suffisamment complexe.

Pas de boucles d'oreilles, des bleu-jeans, des mollets bien proportionees.

On entend la musique de quelque part.

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